Connor AndrewsTHE 100 ◊ THE GUARDS≈ avatar : max irons
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| Sujet: (F/LIBRE) MARGOT ROBBIE/ZOEY DEUTCH ≈ looks like a girl, but she's a flame Sam 20 Juin - 14:58 | |
| prénom nom Everybody stands, as she goes by Cause they can see the flame that's in her eyes Watch her when she's lighting up the night Nobody knows that she's a lonely girl
| NOM DE FAMILLE : au choix. PRÉNOM(S) : au choix, je voyais bien quelque chose de doux, ou alors qui met bien en valeur son tempérament de feu.. je vous fais confiance mais pour le scénario, je vais utiliser Nymea. ÂGE : vingt ou vingt-et-un DATE ET LIEU DE NAISSANCE : sur l'Arche à la date que vous souhaitez. LIEU D'HABITATION : la neuvième de préférence, ou toute autre station intermédiaire ou pauvre. EMPLOI/FORMATION : je la voyais bien être en formation médecine, ou logistique, mais c'est à vous de voir. STATUT CIVIL : célibataire. CLASSE SOCIALE : moyenne ou pauvre. GROUPE : collateral damages CÉLÉBRITÉ CHOISIE : je suis fan du duo deutch/irons que je n'ai jamais eu la chance de jouer, mais j'ai un coup de coeur pour margot robbie également, ou même jenna louise coleman CRÉDITS : tumblr.
juste ✤ impatiente ✤ maladroite ✤ entêtée ✤ empathique ✤ altruiste ✤ intuitive ✤ maligne ✤ curieuse ✤ parfois immature ✤ dévouée ✤ sensible ✤ maternelle ✤ résistante ✤ intransigeante ✤ impulsive ✤ tenace ✤ bienveillante ✤ fidèle. |
≡ Deliverance comes at a cost. I bear it so they don't have to. || 001. je voyais Nymea orpheline, que ce soit dès sa naissance ou un peu après, elle aurait été ballotée de familles en familles durant toute son enfance. ces familles étaient celles n'élevant encore aucun enfant, ou étant soi-disant stériles, jusqu'à ce que par miracle, ils en aient un.. nymea était alors obligée de s'en aller ailleurs, encore et encore, nourrissant ainsi une haine continuellement grandissante contre le système et les lois sur l'Arche, les élites, l'injustice. || 002. elle serait depuis toujours, attirée par les arts. avec un calepin aux feuilles vierges et des crayons de couleurs volés à l'école primaire toujours en sa possession, elle se plairait à crayonner tout et n'importe quoi sur l'Arche, mais surtout des portraits, ou des dessins d'animaux et de plantes qu'elle ne voyait que dans ses livres d'écolière. ces précieux objets ne la quittent jamais, ils l'accompagnent d'ailleurs sur Terre. || 003. elle rejoignit un groupe anti-gouvernement durant son adolescence, mais ne participa aux coups que vers sa vingtaine. elle adorait d'ailleurs signer à chaque fois de sa touche personnelle en rajoutant un graffiti sur les lieux des crimes, sans que personne ne sache que ce soit elle. || 004. on pourrait croire qu'elle aurait du mal à faire confiance aux gens, mais c'est tout le contraire. elle est très ouverte sur le monde, mais possède tout de même de forts préjugés contre les personnes venant des stations les plus riches, elle les méprise comme on l'a méprisé, elle. || 005. elle n'était pas forcément à l'aise avec les missions de sabotage qu'on lui donnait de faire dans son groupe anti-gouvernement, mais elle les faisait quand même, tout en faisant attention de ne jamais blesser personne. mais plus elle avançait en âge, plus on lui demandait de participer à de gros coups et moins elle était confiante. son dernier coup aurait du lui valoir la mort, mais sans comprendre pourquoi, on ne l'a jamais éjectée, elle se sait protégée. elle sait qu' elle devrait être morte à l'heure qu'il est. || 006. elle éprouva une certaine euphorie lorsqu'elle su qu'elle allait sur Terre, mais comme beaucoup, elle est désormais persuadée qu'ils ont été envoyés se faire tuer, qu'ils ont été trahis et elle est tout simplement dégoutée. || 007. elle passa neuf longs mois en prison et coupa tout lien avec ce groupe d'anti-gouvernement.. elle était même prête à se résilier à agir comme un citoyen lambda si un jour la chance de revenir dans la société lui était donné. mais elle est soulagée, car elle préfère largement venir sur Terre que faire semblant là-haut. elle n'aurait pas supporté longtemps d'être fausse. || 008. sa place dans le camp n'est pas encore bien définie, elle essaie juste de se lier d'amitié avec les bonnes personnes et aime être polyvalente. sa tâche préférée est néanmoins d'être auprès de ceux octroyant les soins. || 009. elle s'est procurée un couteau de fortune et s'entraine tous les soirs au tir sur un arbre. elle préférerait être plus sportive, plus forte et sait qu'au jour d'aujourd'hui, elle ne pourrait pas tenir un combat même contre un autre des cent. nymea ne pourrait s'appuyer que sur son agilité et le fait qu' elle court vite (merci toutes les courses poursuites dans les couloirs de sa station), elle a un besoin certain de s'entraîner, de devenir plus forte. || 010. si la menace des grounders (qui la terrifie) n'était pas présente, elle serait tous les jours à gambader dans la forêt, à découvrir le monde. mais elle se méfie et elle a raison. elle se méfie même de certains des sky people, elle sait que quelques uns sont de vrais brutes, des criminels dangereux et ne reste pas naïve sur le fait que la menace est autant dehors, qu'à l'intérieur du camp de Terre. || 011. elle est à la fois forte et fragile, sensible et combattante. elle n'est pas une demoiselle en détresse, mais ce n'est pas non plus l’héroïne adulée de tous. elle préfère se savoir indépendante, méritante mais en réalité, elle a besoin de soutient, elle a besoin de protection, d'être entourée. parce que c'est quelqu'un qui déteste être seul, quelqu'un qui donne de meilleures performances (physiques, morales, mentales) lorsqu'elle est accompagnée. mais elle trouve des difficultés à se lier de vraies amitiés, parce qu'elle a toujours apprit à ne pas se livrer complètement, elle a toujours apprit à vivre par soi-même. malgré tout, si elle se laissait aller avec les bonnes personnes, elle pourrait être plus forte que jamais, plus confiante et surtout, tout simplement en paix.- Spoiler:
~ connor, vingt-trois ans. comment tu peux accepter ça ? comment tu peux croire qu'ils vont arranger les choses, les lois, les conditions ? tu ne dis rien, tu ne te contentes que de l'empoigner par le bras sans agressivité et de l'emmener ailleurs, loin de ce tas d'idioties qu'elle venait de peindre sur un mur. Une interdiction, une pure et simple interdiction qu'elle venait de franchir qui pouvait l'envoyer en prison. Elle se rebellait de plus en plus, tu veillais à être près d'elle lorsque tu savais qu'elle allait faire un sale coup. Tu la protégeais, sans savoir pourquoi. ANDREWS, réveilles-toi merde ! elle essayait de te convaincre, car elle voyait la lueur qui brillait dans tes yeux lorsque tu venais découvrir ses faits, lorsque tu la couvrais. Elle savait d'où tu venais, quelle épreuve tu avais du surmonter durant ton adolescence et pourquoi. Elle ne comprenait pas comment tu pouvais te ranger tranquillement, faire ta vie chez les soldats de l'Arche et acquiescer à chaque ordre. Elle rêvait que d'une chose, qu'un Connor secret et bouillonnant se cache quelque part en toi et qu'elle soit celle qui allait le réveiller, le révéler. Mais rien ne se passait et tu persistais à te taire, tout en la protégeant. Ça ne sert à rien de me sauver de mes plans foireux si derrière, tu es à leur botte et que tu enfermes mes amis. Elle te repousse de ses deux mains, puis elle te martèles le torse de quelques faibles coups. Vas t'en, laisse moi. Mais déjà, il est trop tard. Ta main attrape la sienne et tu l’emmènes chez toi, dans ton foyer de la neuvième section. Calmes-toi. lui intimes-tu. La brune s'écarte, elle recule d'un pas. Elle observe les lieux avec curiosité mais reste sur la défensive. Tu ne lui adressais pas toujours la parole lorsque tu la rencontrais, lorsque tu la sauvais (la plupart du temps, in-extremis). Non, tu te contentais seulement de l'emmener ailleurs, de l'entendre geindre comme une enfant et de la quitter sans plus de cérémonies. C'était ainsi, tu ne trouvais pas intelligent de débattre sur ses actes, tu ne saurais même pas lui donner d'explications sur les tiens lorsque tu l'aidais à s'échapper. C'était ainsi la première fois qu'elle apercevait une partie de toi même, de ta vie. Tu ne savais honnêtement pas pourquoi tu venais de l'emmener ici, dans ton antre. Par peur peut-être. Par peur qu'elle ne se relance aussitôt dans la gueule du loup. Cela t'avais un peu effrayé lorsque tu t'étais rendu compte qu'elle venait de faire ses graffitis sur un mur bien trop proche des stations des élites. Connor.. une supplication s'entend dans sa voix, tandis que la jeune femme se rapproche de toi. Tes iris se posent sur elle, tu la détailles. C'est son visage qui reste le plus gravé en toi, lorsque tard dans la nuit, tu te questionnes à son propos. Son doux visage qui t'avais fait accrocher ton regard au détour d'un couloir. Tu ne t'étais pas empêché de la trouver incroyablement belle, singulière, douce et à la fois sauvage. Tu le savais, c'était ce jour-là qu'elle avait dérobé ton cœur. Aides-nous, je t'en prie. Qu'est-ce qui te retiens ? Elle se rapproche encore un peu plus, elle est bien trop proche d'ailleurs. Ton corps vibre, un peu trop. Elle le sait, elle peut lire la passion dans ton regard. Ses pieds se hissent tandis que ses mains se glissent sur ta nuque puis doucement, tendrement, ses lèvres se posent sur le coin de tes lèvres. Une, deux fois. Elle te tente, elle t'aguiche. Mais tu n'en peux plus et déjà, tu lui voles un baiser. Tes bras encerclent sa petite taille, tu t’enivres d'elle, de sa présence, de sa douceur, de sa passion. Mais très vite, trop vite, tu romps ce lien, cette connexion qui semblait se construire entre vous deux. Tu as le souffle haletant, tes yeux évoquent combien tes pensées sont perturbées. Ne te mets plus en danger. Promet le moi. lui souffles-tu. Je ne peux pas te promettre ça, tu le sais. - je ne pourrais pas toujours être là. - je sais, mais au moins j'aurais agis, j'aurais fait quelque chose de ma vie, on ne me l'aura pas dicté à moi. Ses yeux se perdent dans les siens durant de longues secondes de silence. Elle attend que tu te réveilles, que tu dises quelque chose, que tu t'abandonnes à elle, à sa cause. Mais il n'en est rien. Alors elle part, elle quitte ce lieu encore chargé d'émotion. Elle ne te laisse que son parfum pour prouver que ce moment intense, unique et irréel s'est bel et bien déroulé il n'y a juste que quelques petites secondes.
~ connor, huit mois en arrière. On te jette sans aucune douceur au sein de ton cachot des temps modernes. Des temps bien trop modernes à ton goût. Tu rêves d'avant, d’antan. Tu rêves d'ailleurs, d'autrement. Quitte à retourner à ce Moyen-Âge conté dans tes livres d'étudiant, tu désires qu'une chose, quitter cet endroit. Et pourtant tu t'y enfermes de plus belle, tu te prives même de ton hublot, de ta vue sur la planète bleue, cette vue tant aimée et chérie. Tu t'y enfermes mais dans l'unique but de t'en délivrer dans huit mois. Huit longs mois à attendre, à être considéré comme un moins que rien, à gagner la confiance des autres délinquants. Toi, le fils de médecins, d'une famille aux revenus moyens et presque aisés, toi, le soldat par défaut. L'officier devenu grâce à tes aptitudes, tes efforts, toi qui avait accepté d'inscrire ton nom dans ce projet suicidaire. Pour la sauver d'une mort certaine, pour te sauver de l'Arche. Alors oui, ta vie sur Terre risque d'être brève, oui tu ne risques même pas de fouler le sol, mais tu te dois d'essayer. Tu as tout à y gagner, rien à perdre. Rien, vraiment, sauf ton confort durant ces huit prochains mois. Alors tu t'adosses à un de ces murs froids de ta cellule, tes jambes se dérobent sous toi et tu t'assois en fourrant ta tête entre tes mains. Tu comptes déjà le temps qui te sépare de ta libération, tu imagines déjà cette planète dont tu as tant rêvé, tu gardes en esprit son visage à elle, son rire, ses doux cheveux bruns.
~ connor, il y a une semaine. On y croit, on y croit à ton petit jeu. Ton mauvais coup d'il y a huit mois. Tu t'es fait une place parmi les prisonniers, on te connait, on te respecte et on t'écoute. Un leader ? Non, tu n'en es pas un, mais tu as ton importance et tu aimes ta place. Tu ne connais pas encore forcément tout le monde car il n'y a que très peu de temps où vous pouvez vous contacter en prison, mais on sait qui tu es, on sait ce que tu as fait. Toi, le soldat rangé qui pourtant avait vécu une incroyable injustice par l'assassinat de ton père il y a quelques années, tu t'étais rebellé, enfin. Tu l'avais fait dans la précipitation à vrai dire, pour elle, encore elle. A cause d'elle. Elle était allée trop loin, elle avait bien trop transgressé les règles et risquait la peine de mort. Mais tu avais conclu ce pacte, ce marché proposé tout juste deux semaines avant. Toi qui hésitait, te voici avec une raison de t'y engager, dans ce projet suicidaire. Il était fort possible que vous n'atterrissiez même pas sur la surface de la Terre, ou que la radiation vous tue aussitôt. Mais tu tentais le coup, tu tentais votre libération, votre survie. Parce qu'il fallait l'avouer, tu étouffais là-haut, sur l'Arche. Tu avais beau fermer les yeux, repousser ta colère, elle restait quand même présente, même si refoulée. Alors tu avais bousillé une partie de la station une, l'électricité surtout, tu avais provoqué des soucis au niveau de la mécanique, tu avais tout simplement saboté durant une longue journée le confort des plus riches des élites de l'Arche. On te prêtait alors vingt-et-un an et on te jetait en prison. Mais voilà, tout cela n'était qu'une simple supercherie et tout le monde n'y avait vu que du feu. Te voici ainsi à fouler le sol de la surface de la Terre, tu te demandes quel va être votre destin maintenant. Tu laisses la vraie raison de ta présence ici dans l'ombre, dans le secret partagé avec dix autres personnes. Tu la surveilles, de loin, comme toujours. Tu as peur qu'elle ne te découvre, qu'elle ne l'ait même déjà fait. Tu t'inquiètes à propos de ces grounders, de ces trois disparus. Tu as été désigné comme l'un des soigneurs, ou en tout cas des plus compétent à soigner au sein du campement. Mais tu restes constamment en alerte, que ce soit pour eux, pour elle ou pour toi-même. Tu redoutes une prochaine attaque, tu espères qu'un contact pourra être établi entre les deux camps, pour la survie du tien surtout. Tu ne sais même plus pour qui tu te bas, tu sais juste que tu restes fidèles à ce groupe secret de soldats, à Aries, puis que tu primes la vie, avant toute chose et que c'est cela qui te motivera jusqu'à la fin, comme cela l'a été pour ton père. connor et nymea tu m'agaces - ça tombe bien, c'est réciproque. Connor et Nymea se connaissent de l'Arche. Tous deux originaires de la même station, ils se connurent sur les bancs de l'école. Plus jeune que lui, elle n'attira son regard et ne l'intéressa que lorsqu'il eut vingt-trois ans. Jeune garde au sein de l'Arche, il patrouillait tranquillement lorsque son regard fut attiré par sa douce silhouette. C'est son visage, son sourire, son rire, ses cheveux volant derrière elle qui le fascinèrent. Elle courrait, elle riait. Elle resplendissait. Et c'est à cet instant que le brun fut sous son charme. (je vous conseille de lire ce qu'il y a sous spoiler plus haut.) Il y eut un jeu de regards, de sourires entre eux. Ils furent en effet amenés à régulièrement se côtoyer car Nymea fut formée par la mère de Connor. Le brun venant très régulièrement sur le lieu de travail de celle-ci, la seconder, écouter ses conseils (pour sa formation mais également son désir de connaissances), ne put s'empêcher de doubler ses visites dès le début de sa formation. Ils partagèrent certains moments tendres, doux et sympathiques. Mais la jeune femme commença à entrer et participer à certains sabotages organisés par un groupe anti-gouvernemental et Connor se doutant de quelque chose, la surprit plus d'une fois sur les faits. Et le brun prenait soin d'elle, et le brun la sauvait, bien souvent de façon in-extremis, de se faire emprisonner. Il l'emmenait loin, il la protégeait. La brune essaya de l'embrigader, persuadée que son groupe était composé des personnes honnêtes, fiables. Mais plus elle s'entêta à continuer de les suivre, plus leur relation se dégradait. A tel point qu'ils vinrent à ne pratiquement plus se parler. Leurs seuls échanges étaient désormais lorsqu'il arrivait par miracle au dernier moment, lorsqu'il venait la sortir des lieux où elle commettait des crimes mineurs. Mais ceux-là devenaient de plus en plus dangereux et une colère sourde montait en Connor. Une colère contre ce groupe, une colère contre elle. Une colère motivée par la peur. Puis arriva le jour où elle accepta de participer à un énorme coup, un bien plus dangereux que tous ceux qu'elle n'avait jamais fait. Mais elle n'aurait pu prévoir que ses acolytes allaient la lâcher au dernier moment, la laissant avec les autorités et un Connor arrivant trop tard. Mais c'était trop tard, bien trop tard déjà et il n'eut de choix que d'accepter avec vitesse de partir avec l'équipe du projet d'Exode. Un 'oui' lancé avec hâte, avec peur qu'elle ne soit éjectée et ne puisse même pas passer par la case prison. Elle faillit mourir ce jour là, un jour terrifiant pour Connor autant que pour Nymea. Mais ce ne fut pas le cas, car à deux doigts de se faire expulser dans l'espace, les gardes reçurent l'ordre d'arrêter l'éjection spatiale par un Connor haletant et revenant de chez leur supérieur. Nymea passe ainsi neuf mois en prison, Connor l'y rejoint un mois plus tard. Mais ils ne s'adressent pas la parole. Ils se reconnaissent tout juste au détour d'un couloir de la prison. Elle se pose des questions et elle demande autour d'elle si quelqu'un sait ce qu'il s'est passé. Elle n'en croit pas ses yeux, elles ne comprend pas comment il peut être emprisonné lui aussi. Elle se demande même, si ce n'est pas à cause d'elle. Nymea est consciente que quelque chose de louche se passe, qu'elle devrait être morte à l'heure qu'il est. Mais surtout qu'avant tout cela, jamais Connor n'avait agit contre la loi, même lorsqu'elle lui avait demandé. Mais Connor s'enferme pour mieux les sauver tous les deux, et ça, elle ne le sait pas. Il pense d'ailleurs qu'elle ne le saura sans doute jamais et que c'est mieux ainsi. Il ne faudrait pas qu'elle compromette la mission des dix soldats dissimulés parmi les cent. Il ne faudrait pas qu'elle continue ses agissements. Il se fit la résolution de ne même plus l'approcher, il essaie de se convaincre qu'ils sont incompatibles. Que cela ne fonctionnerait jamais, qu'ensemble il n'arrive que des problèmes. Alors dans un dernier geste d'amour, il lui donne sa liberté terrestre. Il lui donne la liberté de ne plus être autour d'elle également. Mais il ne peut s'empêcher de la surveiller de loin, de la protéger tout de même. Ce n'est plus aussi récurrent qu'avant. Après tout, neuf longs mois se sont passés sans qu'ils ne se voient, sans qu'ils ne s'adressent la parole. Ils sont redevenus des inconnus l'un pour l'autre. Connor ne sait pas qu'elle a abandonné l'idée du groupe anti-gouvernemental. Elle, elle le surveille aussi. Elle est curieuse de savoir ce qui se trame et en même temps, elle sait. Elle se doute qu'il n'est pas présent pour rien. Il a vingt-cinq ans, pas vingt-et-un (qui est censé être l'âge maximal des cent). Il était également parmi les gardes, il était même devenu officier. Alors pourquoi se retournement de situation ? Et surtout, pourquoi cette distance ? Il lui manque, terriblement. Leur baiser reste gravé en elle comme un doux souvenir. Alors qu'ils pensaient ne plus se côtoyer, les voici destinés à devoir coopérer ensemble pour soigner les malades. Comme avant, comme quand tout allait bien. Mais ce n'est plus la même atmosphère qui aujourd'hui, est bien plus électrique. Il ne veut plus avoir affaire à elle, pour la protéger mais aussi pour se protéger lui-même. Mais il l'aime, tellement. Elle dans toute sa splendeur, toute sa personne. Il ne peut enlever son visage de ses souvenirs, il ne peut nier qu'il ne se sent plus dans son état normal lorsqu'il est en sa présence. Ni la peur qu'il ressent lorsqu'il la voit se mettre en danger, ni la jalousie qu'il a lorsque d'autres hommes lui tournent autour. Nymea est perdue. Elle ne sait plus comment agir avec Connor. Elle le sent distant et en même temps, elle se sent redevable. Redevable mais curieuse de ce qui se trame dans l'esprit du brun. Elle est aussi en colère de son comportement envers elle. Mais surtout, elle ne supporte pas sa relation avec Aslinn. Une jeune rousse parmi les cent qu'il protège comme il avait l'habitude de faire avec elle. Ils passent tout deux quatre vingt pourcent de leur temps ensemble et Connor s'est même battu publiquement pour la sauver d'une agression sexuelle. Depuis, elle est intouchable. Depuis, ils sont constamment ensemble. Elle ne sait pas qu'il a comme devoir de la protéger, qu'elle fait parti des dix. Elle ne sait pas que ce n'est qu'une masquerade. Tout ce qu'elle sait, c'est qu'elle a perdu sa place de protégée et cela la révolte. Cette place n'est bien évidemment pas perdue, elle est néanmoins modifiée, restreinte. Nymea ne sait donc pas sur quel pied danser, ni comment réagir. Elle a envie de tout lui déballer, de se mettre en colère contre lui mais en même temps d'être dans ses bras et de l'enlacer, de le remercier. Elle désire tout savoir, être là pour lui mais en même temps, lui montrer et faire comprendre combien elle est blessée.
Dernière édition par Connor Andrews le Sam 20 Juin - 23:20, édité 12 fois |
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